Les Boucles Palvinéennes 2019
Compte-rendu de Christophe ROTA
Pluie ou pas, j'avais dit que je la ferai et je l'ai faite ! Les Boucles Palvinéennes 2019 (première participation pour ma part) proposait, entre autre, un parcours de 111 km assez changeant niveau direction et qui fut bien arrosé du côté de Ballon puis un peu après René (Non pas lui, le village !).
Sur place vers 7h25, je pus me préparer et m'inscrire alors qu'il ne faisait pas encore tout à fait jour et que la pluie n'avait pas encore mouillé les routes.
Surprise, je n'étais pas seul du club ! Pierrot, qui avait pourtant indiqué qu'en cas de pluie, il ne viendrait pas, avait changé d'avis (enfin s'il avait plu à son réveil, je ne l'aurais pas vu…).
C'est donc à deux que nous nous élançâmes sur le parcours. La Trugalle, Joué l'abbé, La Guierche, Souillé, Ste Jamme, Montbizot, les villages défilaient et le ciel bien que menaçant ne nous inondait pas encore.
Souligné sous Ballon, Courceboeufs, tiens, tiens, première fois que je passe dans le village d'un nouvel ancien collègue ! Evidemment, j'eus alors une pensée pour lui.
Puis ce fut au tour de Courcemont et enfin Ballon où nous attendait le premier ravito. La pluie avait déversé ses premières larmes depuis déjà quelques kilomètres et un autre cyclo nous accompagnait également.
Nous ne repartîmes cependant qu'à deux car l'autre cyclo avait pris les devants…
Très vite, après avoir traversé Lucé, Nouans, Dangeul et Thoigné, nous arrivâmes au second ravito de René. Seulement vingt kilomètres entre les deux ravitos, ça fait peu…
Il restait alors quarante kilomètres pour rallier l'arrivée et le vent allait bien souvent être contraire.
Doucelles, Vivoin, Teillé, Le Boulay (on pense toujours à quelqu'un là… lol), St Jean d'Assé, l'arrivée se rapprochait mais Pierrot commençait à ressentir une certaine lassitude. Moi, comme souvent, plus les kilomètres défilent, mieux je me porte. Alors, je finis avec un long relais de vingt kilomètres.
Jusque là, nous nous étions relayés régulièrement mais sur des relais longs. A deux, c'est préférable, ça permet de mieux récupérer.
Il ne restait plus que La Bazoge et sa longue montée puis Neuville avant de retrouver St Pavace. Sur ces derniers kilomètres, j'accélérai encore un peu plus. Pierrot suivait à distance puis nous finîmes roue dans roue les dernières centaines de mètres.
A refaire, en espérant avoir du beau temps cette fois...
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